253 bandes mafieuses prospèrent au sein d’un État belge en voie d’évaporation de moins en moins apte à combattre les trafics qui ont lieu sur son territoire.
Le nombre de mafieux aurait doublé en trois ans pour atteindre plus de 2.500 membres actifs dans tous les domaines : trafics de drogues en tous genres, de voitures volées, d’antiquités et de contrefaçon, d’êtres humains, d’armes les plus diverses, de blanchiment d’argent et de fraude fiscale.
Par le biais de recrues féminines, les mafias se seraient même introduites dans les domaines de la Justice et du notariat, jusqu’aux cabinets ministériels (on aurait bien aimé savoir lesquels d’entre eux).
Conclusion du R.W.F. : quand un État se délite, les mafias prospèrent jusqu’au plus haut niveau…
Source : DH