Elio Di Rupo, Président du Parti Socialiste depuis des lustres, a détruit la Wallonie par une gestion complètement ringarde tout en fermant les yeux sur les pratiques politico-mafieuses et honteuses qui régnaient et continuent de régner au sein de son parti.
Il massacre le néerlandais, la langue de la majorité du pays, et parle à peine l’anglais, la langue des grands sommets internationaux.
Mais l’arrogant se fait fort d’établir, avec la compromission supposée des trois petits partis flamands de sa coalition (CD&V, SP-a, VLD), un cordon sanitaire autour de la N-VA, comme s’il n’existait pas des liens d’amitié profonds mais aussi des points de convergence idéologique entre tous les politiques Flamands.
De plus, la N-VA et le Vlaams Belang punis au grenier, cela ferait près de 50% de la Flandre qui serait frappée d’interdiction sur une simple injonction d’un « socialiste » wallon. En échange, le vaniteux Elio promet de concéder à la Flandre ultralibérale tout ce qu’elle désire (et qu’elle n’osait pas demander). Tout en dépeçant la Wallonie et Bruxelles
Cerise sur le gâteau, le parvenu par excellence annonce sans rire et sans gêne qu’il sera candidat Premier ministre en 2014. Dans la foulée, il allongera la législature d’une année, ce qui, dans sa vision idyllique, devrait lui permettre de se pavaner à la RTBF jusqu’en 2019.
Il ne faut pas être grand clerc pour deviner que notre ami Machiav-Elio tombera sur quelque événement ou un obscur dossier au moment où il se croira au sommet de sa gloire courtisane…
Le R.W.F. invite le Premier ministre à lire La Théorie du Cygne noir, développée par le philosophe Nassim Nicholas Taleb.
Le « cygne noir » est un événement imprévisible qui a une faible probabilité de se dérouler (appelé événement rare en théorie des probabilités ), et qui, s’il se réalise, a des conséquences d’une portée considérable et exceptionnelle.