En quelques jours, on a découvert que le Premier ministre, Belgacom, l’Agence Belga, la Défense, le Ministère des Affaires étrangères, etc. ont été victimes de la « cybercriminalité » ou plus largement d’espionnage par un tiers (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Chine, qu’importe !).
En vérité, l’Etat belge serait une proie facile en la matière.
Le R.W.F. avait publié en juin 2012 un article qui pointait la faiblesse chronique du pays qui accueille le siège de l’Otan et de l’Union européenne dans le domaine de la lutte contre la cybercriminalté.
Peu de choses ont apparemment bougé dans l’intervalle, soit plus d’un an.
Chez nos voisins, où tout irait mal selon nos médias, l’Anssi, au coeur de la cyberdéfense française et dotée de 300 personnes en 2012, est passée à 400 personnes cette année.
L’article du R.W.F. sur la cybercriminalité en juin 2012 et l’article du Soir en lien
L’Etat belge et la sécurité : quasi plus de contrôles douaniers la nuit !