La jeune présidente du VLD, Gwendolyn Rutten, avait déclaré vendredi que son parti n’était plus favorable à une Belgique confédérale. Elle se contenterait d’une fédéralisation très poussée de l’Etat belge (note du R.W.F. : complètement dominé par la Flandre).
Les réactions ne se sont pas fait attendre : « absence de débat interne », « Communication catastrophique », « Si nous continuons comme cela, nous n’atteindrons pas le seuil d’éligibilité qui est de 5 % », etc.
Gwendolyn Rutten a oublié un peu vite que l’inconnu Edgar Lachaert, tenant d’une ligne dure, avait obtenu 41 % face à sa candidature sur le simple slogan : « Il faut refuser de gouverner avec le PS wallon. » Ce n’est pas dans la presse francophone qu’il sera fait écho à cette fronde.
Edgar Lachaert contre Gwendolyn Rutten à la présidence du VLD : 41% des voix !
Source : Het Laatste Nieuws de vendredi et du week-end
La présidente du VLD a deux fers au feu : elle a proposé dans la foulée la fin de la procédure dite de « sonnette d’alarme ».
Le VLD ne veut plus de la parité linguistique au gouvernement – 10 juin 2013