Le secrétaire communal de Mons, Pierre Urbain, ex-bras droit de Di Rupo à Mons et actuellement inculpé, aurait entretenu des relations « d’affaires »avec l’un des dirigeants du plus important cartel mexicain de la drogue. Il s’agirait du cartel de Sinaloa, du nom d’une région du Mexique particulièrement riche en opium et en marijuana. Cette organisation mafieuse et donc forcément criminelle serait la plus puissante au monde et la plus recherchée depuis l’ère post-Ben Laden (sic). Elle sévit partout dans le monde. Elle est surtout active dans l’évasion fiscale, le blanchiment, le trafic d’armes et de stupéfiants ou encore le kidnapping.
M. Urbain et ses deux complices belges auraient rabattu des investisseurs crédules vers une pyramide financière frauduleuse aux ramifications planétaires
Les relations d’affaires « très amicales » entre Rojo Filho, l’une des têtes de pont du cartel, et Pierre Urbain, dont la fonction de secrétaire communal interdisait « d’exercer un commerce même par personne interposée » selon le code wallon de la démocratie locale (Furlan n’était sans doute pas au courant !) semblent confirmer que diverses mafias gravitent autour du bourgmestre de Mons empêché Elio Di Rupo.
Inutile de rappeler ici les manœuvres de ses frères bien-aimés Mario et Franco Di Rupo dans le domaine de la fausse-monnaie.
Tout le monde le sait dans les hautes sphères, mais tout le monde se tait dans toutes les langues.
L’enquête, apparemment indépendante, suit son cours et va de surprise en surprise…
Dossier complet et étayé dans L’Echo de ce week-end (pp. 50-51)