Il y a les copains d’Elio, Didier Donfut et Claude Durieux, qui échappent au procès de la Sorelobo et du drame des Mésanges grâce à des entourloupes de bas étage (10 ans !).
Il y a sa famille, Franco et Mario Di Rupo, épargnée dans une gigantesque affaire de fausse monnaie.
Il y a Tommy Leclercq qui est devenu gouverneur du Hainaut à 41 ans grâce à l’entregent d’Elio Di Rupo.
Aujourd’hui, L’Avenir nous apprend que Pierre-Dominique Schmidt, l’ex-ambassadeur de Belgique à Paris, a été reconnu coupable de faux en écriture, d’escroqueries et de détournements par le tribunal correctionnel de Bruxelles, qui lui a accordé mardi une suspension de peine. L’ancien chef de la délégation diplomatique belge à Paris avait été accusé de détournements et faux il y a près de cinq ans, alors qu’il était en charge diplomatique à Paris. A cette époque, notre prestigieuse ambassade s’était transformée en discothèque de luxe cocaïnomane, voire en lupanar.
Comme d’habitude, dans ces cas d’espèce, le tribunal a tenu compte de l’ancienneté des faits pour accorder une suspension du prononcé.
Prescription et ancienneté des faits sont les deux mamelles de la justice inféodée au PS.
Notons que l’individu en question a été mis à la retraite à… 54 ans suite à des marchandages avec le Ministères des Affaires étrangères.
Et dire que M. Di Rupo avait promis la chasse aux parvenus dont il fait lui-même partie !
Pour les amateurs de mots rares, le terme « rupophobie » existe réellement dans le dictionnaire : il signifie « celui qui n’aime pas du tout les ordures ».
Et tant pis si nous ne sommes pas politiquement corrects : l’exemple nous vient de l’Hexagone !
Note : il paraît que le syndrome de la rupophobie gagne du terrain en Flandre…
Mai 15 2013