Un sondage, publié dans Le Soir d’aujourd’hui, donne largement tort au projet de Belgique résiduelle, de WalloBrux (qui ressemble à une marque de ramasse-miettes), de Minibel souhaité par le FDF en tête, mais aussi par le surfait Paul Magnette ou autre Delpérée visiblement dépassé par les événements.
Histoire de préserver leurs prébendes et leurs mandats en tous genres.
En cas de scission de l’Etat belge, 68 % de Bruxellois ne veulent pas d’une union avec la Wallonie. Même si les sondages se sont souvent montrés faillibles, c’est un score sans appel en l’état actuel des choses. Alors que l’intérêt de notre cause peut évoluer rapidement dans notre sens, en cas de disparition de l’Etat belge par exemple.
Fait remarquable en soi, la question du rattachement de la Wallonie ou de Bruxelles à la France a été soigneusement éludée par Le Soir.
Le dernier tabou du régime belge ? Le rattachement de la Wallonie, et de Bruxelles si ses habitants le souhaitent, à la République, ce qui renverserait illico le rapport de forces (la politique repose essentiellement sur un rapport de forces) en faveur des Francophones face à une Flandre arrogante et vorace.
Le pire cauchemar de Bart De Wever ? La France aux portes de Bruxelles : à Waterloo, Braine-l’Alleud, Tubize, Wavre, etc.
A ce moment, gageons que le mouvement Flamand respectera davantage la démocratie, le suffrage universel et le droit à l’autodétermination des peuples.
Le R.W.F. a la prétention de croire qu’il ne faut pas être grand clerc pour comprendre ce changement de donne radical qu’incarne notre projet politique…
Laurent Brogniet
Président du R.W.F.