On a parlé récemment des parents des victimes de la tuerie de Liège qui se voient réclamer des droits de succession.
Il y a également le fait qu’elles n’ont toujours pas reçu la moindre indemnité de l’Etat belge, un an après la tragédie.
Cette semaine, un entrefilet nous apprend que le gouvernement fédéral a décidé de supprimer les allocations pour les frais funéraires qui sont payées aux familles en cas de décès d’un salarié, d’un chômeur, d’un invalide ou d’un salarié à la pension.
Le gouvernement espère ainsi faire une économie de 6,4 millions d’euros par an.
La semaine passée, les médias nous annonçaient que les groupes à très bas revenus ou avec beaucoup d’enfants seraient davantage taxés par un mécanisme fiscal administratif dont l’Etat belge a le secret.
Pendant ce temps, Gérard Depardieu vient parader dans le Hainaut à la grande joie d’un bourgmestre socialiste.
Pendant ce temps, les revenus des travailleurs belges ne cessent d’être imposés de façon directe ou indirecte (augmentation de la TVA), les classes moyennes sont dans le collimateur et les PME sont étranglées.
Pendant ce temps, Elio Di Rupo le socialiste pour rire signe une préface dithyrambique d’un ouvrage intitulé « Albert II intime ».
« Pourvu que ça dure », disait Letizia Bonaparte…