On se souvient de Leuven (Louvain) qui avait débaptisé la place Maréchal Foch parce que les autorités de la ville considéraient qu’il s’agissait d’un hommage rendu à un criminel de guerre (sic).
A la veille du 11 novembre, des actes de vandalisme ont été commis dans la nuit de samedi à dimanche dans un cimetière d’Estaimpuis (Hainaut) où le drapeau belge a été arraché et le monument des anciens combattants souillé. « C’est inqualifiable », regrette le député-bourgmestre de la commune Daniel Senesael. Un groupuscule nationaliste flamand pourrait être l’auteur de ces actes, selon les premiers éléments de l’enquête.
Dimanche, le bourgmestre Daniel Senesael se disait outré par ces actes commis dans le cimetière d’Evregnies (Estaimpuis).
« Vers 1h du matin, entre 30 et 100 personnes, selon les informations, sont entrées dans le cimetière. Le mât sur lequel flottait le drapeau belge a été détruit. Le monument aux morts a aussi subi des dégradations »
Rappelons que tant en 1914 qu’en 1918, les Français étaient à nos côtés contre l’envahisseur.
En 1936, la scandaleuse neutralité proclamée par l’Etat belge de Léopold III sous la pression du Mouvement flamand et qui dénonçait l’alliance militaire avec la Grande-Bretagne et la France (« Los van Frankrijk », « rompre tout lien avec la France ») avait largement dégarni notre frontière avec la France lors de l’attaque nazie en 1940…
Conclusion contemporaine : il est plus que temps de dissoudre les milices flamingantes.
Source : site RTL-TVI