Le Plan B n’en sera jamais un (Fédération Wallonie-Bruxelles ou MiniBel). Sa dénomination le condamne.
Il sert à renforcer l’idée que seul le plan A, celui du gouvernement Di Rupo, celui qui correspond à la vision de la bande des quatre partis institutionnels francophones, doit concentrer tous les efforts. Sans lui, point de salut, nous disent-ils.
Comment pourrait-il en être autrement ?
Un plan B n’est qu’un second choix à défaut de mieux, une tentative pour que survive un passé pourtant révolu, une solution peu enthousiasmante, un piètre label de qualité, un plan à ne devoir jamais mettre en œuvre.
Il ne s’agit pas d’un projet et encore moins d’un rêve d’avenir partagé, ni d’une ambition pour nos enfants.
C’est tout le contraire du projet que porte le RWF, un plan F comme France qui mérite lui un label de qualité AAA, qui ne prétend pas sauver la Belgique, mais donner à nos enfants un avenir enthousiasmant en unissant notre destin à une grande nation à laquelle ils seront fiers d’appartenir.
Marcel Dehalu
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