La connaissance du néerlandais est un « facteur majeur d’exclusion » pour les candidats officiers francophones au sein de l’armée belge », a déclaré la ministre de la Défense, Ludivine Dedonder, en réponse à une question parlementaire.
« Parmi les postulants francophones pour la catégorie des officiers, l’épreuve de deuxième langue nationale s’est avérée être un facteur majeur d’exclusion » lors des épreuves académiques d’admission, a-t-elle précisé. La ministre (PS) n’a pas cité de chiffres précis. (sic)
Pour la première puissance militaire de l’Union européenne (dès le Brexit), c’est-à-dire la France, le problème ne se pose pas. La deuxième langue, c’est l’anglais.
Un point c’est tout.