L’ancien rédacteur du Knack, Rik Vancauwelaert et sans doute le meilleur analyste de la politique flamande, a donné tout récemment une interview à son journal d’origine.
Pensez-vous que nous nous dirigeons vers un nouveau scrutin ?
Van Cauwelaert : Je le dis depuis le 26 mai. L’époque où le CD&V et le PS parvenaient à une entente alors qu’ils représentaient les deux plus grands partis de leur région respective est désormais révolue. J’essaie d’expliquer encore et encore aux francophones que la montée du Vlaams Belang n’est pas la pire des choses, mais bien le recul total des partis traditionnels.
Selon les observateurs, de nouvelles élections donneront lieu à un référendum sur l’avenir de la Belgique.
Van Cauwelaert : Il est temps que des gens intelligents réfléchissent ensemble à l’avenir du pays. Nous procédons actuellement à des réformes de l’État parce qu’il y a un problème, mais il n’est pas soutenable. À long terme, la constitution deviendra un énorme mécano d’articles entrelacés.
Pour l’instant, je ne vois rien qui indique une majorité viable – à l’exception d’un exercice kamikaze des deux côtés.
Donc, je ne réserverais pas de voyage en février ou en mars.
Ivan De Vadder, ténor du journalisme en Flandre, n’a pas dit autre chose cette semaine sur les ondes de la VRT :
« Des élections au printemps sont certainement une possibilité. »
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