Valérie Glatigny, ministre des sport et autres de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur la voie de la faillite politique et financière, est dans la mouise. Sur le long terme : toujours pas de piscine olympique, de vélodrome couvert, de centre équestre de haut niveau, ni de piste de VTT.
D’autre part, il faudrait investir 6 millions d’euros supplémentaires (en réalité une paille que la FW-B n’a pas dans sa poche) dans l’encadrement des sportifs de haut niveau en Fédération Wallonie-Bruxelles pour atteindre le niveau de la Flandre. En effet, l’administration des sports de la Fédération Wallonie-Bruxelles rappelle qu’elle n’a plus de budget pour accepter et encadrer des sportifs de haut niveau. Une différence abyssale avec la France dans ce domaine…
Les sportifs de haut niveau en France
Plus farcesque, voici comment Valérie Glatigny a été hameçonnée par Louis Michel :
Sa rencontre avec la future ministre? En Ardenne, après une conférence. Elle l’interviewait pour un journal local sur son livre, Horizons, l’axe du bien. Un moment décisif, puisqu’elle décide, par après, de lui adresser une longue lettre afin de lui demander à travailler pour lui. Ce qu’il accepte. De là à la propulser aujourd’hui dans l’arène? Tout le monde va croire que j’ai joué un rôle, mais je n’y suis pour rien dans sa désignation (ndr : comme d’habitude), précise Louis Michel. Charles a été surpris de ses qualités lors des différents débats auxquels elle a participé, c’est tout. C’est quelqu’un de très rigoureux, qui sait de quoi il parle.
Source : l’Echo