Carine Gol-Lescot, la veuve de Jean Gol décédé voici 20 ans, a accordé une interview à La Libre ce jeudi (extrait) :
« Il était très pessimiste sur l’avenir de la Belgique ?
De par son expérience au gouvernement, suite notamment au dossier Cockerill, il avait senti un très fort nationalisme flamand. En cas d’indépendance de la Flandre, il pensait qu’il faudrait se rattacher soit à une nation francophone, soit à la France. C’était un Liégeois et, à Liège, on fête le 14 juillet et pas le 21. »
Ce témoignage sans équivoque confirme les propos relatés par Paul-Henry Gendebien dans son ouvrage Splendeur de la Liberté