Il est belge et il a fait toute sa carrière de journaliste à Paris, où il vit depuis 50 ans. Voici ce qu’il écrit à nos amis de l’A.W.F., mouvement citoyen (l’auteur a souhaité garder l’anonymat) :
« Il me semble que le rattachement de la Wallonie à la France est un événement inéluctable, et que la seule incertitude à ce sujet est de savoir quand il se produira. Le fait est que les fossés existant depuis toujours entre Flamands et Wallons se transforment en abîmes, tandis que les barrières entre Wallons et Français s’écroulent et disparaissent l’une après l’autre, à commencer par les domaines de la culture et de l’économie. Reste, comme ultime obstacle chez de nombreux Wallons me semble-t-il, un vague mais tenace sentiment de « nationalisme », de belgitude – mais qui n’est pas autre chose qu’un particularisme comme on en cultive presque partout en France, chez les Occitans, les Alsaciens, les Bretons, les Bourguignons, les Basques, les Auvergnats etc. Et qui est au cœur même de l’identité française.
Quand les Wallons auront tous compris cela, ils seront mûrs pour entrer en Hexagone.
Où ils seront bien accueillis. (…) »