2012 était une année électorale. Le scrutin communal a pesé sur les finances des partis politiques : 27,604 millions d’euros rien que pour les « charges de publicité, de propagande et d’assemblées, y compris les charges électorales », selon les termes du rapport de la commission parlementaire de contrôle des dépenses électorales.
C’est une hausse de… 166 % en un an, par rapport aux 10,37 millions de 2011 (grâce à l’argent du contribuable).
Comme tous les « petits » partis, des militants du R.W.F. doivent récolter 5.000 signatures pour pouvoir se présenter aux divers scrutins. Tous témoignent du fait qu’une majorité de citoyens ressent un profond dégoût envers tout ce qui touche de près ou de loin à la politique.
Alors, messieurs les journalistes, pas besoin de faire des éditos larmoyants sur la République française : regardez d’abord ce que la particratie belge a fait comme dégât à la démocratie !
Un exemple parmi tant d’autres : est-il normal que Laurette Onkelinx soit Ministre sans interruption depuis 22 ans et que son époux l’avocat démarcheur Marc Uyttendaele rafle depuis des années les juteux dossiers des multiples institutions de l’État belge ?
La suggestion du R.W.F. : qu’un journaliste se déguise en militant d’un « petit parti » afin de connaître l’état d’esprit de la population vis-à-vis du monde politique.
Laurette Onkelinx et son frère…
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