Les trains n’arrivent pas à l’heure, des gares sont fermées ou abandonnées (surtout en Wallonie), des lignes sont supprimées, des accompagnateurs de trains sont violentés, mais on construit des gares monumentales, très belles certes mais, scandaleusement chères et aux fonctionnalités défaillantes. Tout cela pour satisfaire l’ego de politiciens complètement déconnectés de la réalité des citoyens navetteurs. Après Liège, Mons. Pourquoi Mons ? Poser la question c’est y répondre.