A l’imitation de Luc Van den Brande qui avait dit un jour : « Plus un franc flamand pour l’acier wallon », Philippe Muyters déclare qu’il ne versera pas un centime pour la Wallonie et Bruxelles. Un Etat où la solidarité est rejetée par son entité principale n’est plus digne de ce nom. Il est vrai que la gestion aléatoire de la Wallonie et de Bruxelles lui donnent quelques beaux arguments. Mais il est tout aussi vrai que depuis des décennies, les Flamands ont confisqué ce qui reste de fédéral pour servir les intérêts de leur région au détriment des deux autres…
L’entretien de Philippe Muyters
La Flandre anticipe sa sécurité sociale autonome