Je ne partage pas l’enthousiasme des sondages. De mon modeste poste d’observation, je perçois Elio Di Rupo comme un homme perclus de tics communicationnels : pas une once de sincérité, pas un gramme de spontanéité dans ses paroles, dans ses gestes, dans son langage corporel. Son visage ne doit retrouver ses traits naturels que dans …